Une équipe australienne a testé les conséquences cognitives et physiques d’un régime hyperlipidique ingéré sur une courte période par des sujets sédentaires. Vingt volontaires ont tout d’abord eu une alimentation équilibrée, puis au cours de la semaine suivante des repas contenant 74 % de lipides.
Comme on pouvait s’y attendre l’alimentation grasse a fait augmenter le taux d’acides gras libres de 44 %. Mais elle a aussi fait diminuer l’efficacité corporelle globale de 3 %, alors que le taux de protéine UCP3 musculaire et la fonction mitochondriale maximale étaient inchangés. De plus ce régime gras faisait diminuer le temps de réaction et la capacité de concentration.
The FASEB Journal, 24 novembre 2010.
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