selon l'ANSM selon un avis publié le 26 janvier 2023. L'Agence avait interdit en 2019 la mise sur le marché de certains types d’implants mammaires « macrotexturées » et ceux recouverts de polyuréthane, en raison d’un risque accru de développer un lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC-AIM). D’après l’ensemble des données collectées, elle dit ne pas disposer à ce jour d’éléments indiquant un sur-risque d’apparition de LACG-AIM pour les implants actuellement mis sur le marché en France.
Le chiffre de la semaine
103 cas de LAGC associés au port d'implants mammaires
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Publié le 26/01/2023
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Imagerie par Résonance Magnétique ( IRM ) montrant une implantation de prothèse mammaire. Une capsule de vitamine E ( à gauche ) a été placée sur la surface du sein pour indiquer l'emplacement d'une anomalie suspectée.
Crédit photo : SPL/Phanie
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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