Parallèlement à la recommandation sur la prise en charge médicamenteuse de la sédation, la HAS remet à plat les stratégies médicamenteuses pour soulager les douleurs rebelles, qu’elles soient spontanées ou provoquées par les soins (dans le cas d’un cancer par exemple). Encore une fois, la HAS inclut des traitements qui n’ont pas l’AMM pour une visée antalgique.
Est notamment précisé : comment changer d’opioïde pour contrôler la douleur liée ou non au cancer sans risquer mésusage, addiction ou détournement ; comment instaurer un traitement par méthadone pour les douleurs rebelles liées au cancer ; comment suivre à domicile la co-antalgie par kétamine ou encore les techniques d’analgésie locorégionale.
Pr Régis Aubry : « Même si le débat est retardé voire temporairement arrêté, les questions émergentes autour de la fin de vie persistent »
À Saint-Malo, prendre le large avec la SEP
François Braun, Claude Evin, Didier Sicard, Emmanuel Hirsch… : un collectif dénonce les évolutions du projet de loi sur la fin de vie
Dr Myriam Pierson-Berthier, pédopsychiatre : « Les violences sexuelles sur de très jeunes enfants, c’est la clinique de l’impensable »