Grâce au séquençage de nouvelle génération, il est possible de mettre en évidence des variations génétiques des papillomavirus, qui sont associées à leur potentiel carcinogène. Dans le cadre d’un travail collaboratif international, les génomes entiers de plus de 10 000 HPV à haut risque ont été séquencés. Ceci a permis de mettre en évidence, au niveau nucléotidique, des sous-types d’HPV 16 fortement associés à des lésions histologiques de grade élevé. Ces données confirment que la carcinogénicité des papillomavirus à haut risque dépend de certaines variations génétiques.
D’après L Mirabello et al. États-Unis
Article précédent
Le vaccin nonavalent arrive
Un dynamisme communicatif
Le type 16, une cible prioritaire
Un registre pour comprendre
Vers une généralisation du dépistage organisé
4,5% des cancers attribuables au HPV
Un dépistage pionnier aux Pays-Bas
Des marqueurs de méthylation
Doit-on vacciner les garçons ?
Oui aux réseaux sociaux
Le vaccin nonavalent arrive
Des sous-types identifiés
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature