Les inégalités hommes-femmes en matière de prise en charge des maladies cardiovasculaires sont une triste réalité.
Un travail présenté lors d’une session poster illustre bien cette problématique, qui concerne les patientes aussi bien en Europe qu’au Canada, en Chine ou au Moyen-Orient. Comparativement aux hommes, les femmes en prévention secondaire ont moins de chance de recevoir un traitement par une statine plus puissante, et/ou à bonne dose. Au final, seules 17,5 % d’entre elles sont à l’objectif, comparativement à 24 % des hommes, ce qui n’est déjà pas un taux très élevé. Ces données sont issues de l’étude DYSIS, qui a inclus entre 2008 et 2012 plus de 46 000 patients à haut risque cardiovasculaire, dont 40 % de femmes.
D’après la présentation du Dr Anselm Gitt (Ludwigshafen, Allemagne)
Article précédent
Une voie thérapeutique sans précédent
Article suivant
Faire entrer plus de patients dans le traitement
Manger très salé double le risque
Les recommandations évoluent
Une recherche très active
De nouveaux objets connectés issus de partenariats laboratoire / start-up
Une étude preuve de concept dans l'hypertension artérielle moins sévère
COMPASS marque le retour des anticoagulants
Une voie thérapeutique sans précédent
Les femmes toujours sous-traitées
Faire entrer plus de patients dans le traitement
Tout un programme d'études cliniques
Le concept de «vascular team»
Faut-il abaisser encore plus le LDL-cholestérol ?
Privilégier l’ablation en cas d’insuffisance cardiaque associée
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature