Le tribunal administratif de Nantes a condamné le CHU à verser 16 352 euros à la Sécurité sociale et 87 800 euros à l’époux d’une patiente à qui l’on avait greffé un rein malade en 2008, selon le journal « Ouest France ». Cette femme avait subi une troisième transplantation rénale au CHU de Nantes, avant de décéder un an plus tard.
Un rapport d’expertise avait fait état d’une erreur de diagnostic lors de l’examen d’imagerie, qui n’avait pas permis de mettre en évidence la « présence d’un cancer urothélial de haut grade dans le rein greffé ». Le tribunal a également reproché au CHU d’avoir tardé à diagnostiquer la maladie causant une perte de chance de survie pour la patiente.
Soins palliatifs précoces : ouverture du premier hôpital de jour en Essonne
Après les accusations d'une médecin, un #MeToo à l'hôpital ?
L’urgentiste Patrick Pelloux accusé de harcèlement sexuel et moral par l’infectiologue Karine Lacombe
Ressources humaines
Le recrutement de médecins cubains à Guingamp, symbole des difficultés hospitalières