« Quand en tant que patient vous rentrez dans le service avec un abcès ou une gangrène, vous êtes rentable. Si on vous débouche les artères, vous êtes encore rentable. Mais si l'on n'arrive pas à les déboucher, vous n'êtes plus rentable du tout... Si par malchance vous vous retrouvez amputé, vous redevenez rentable quelques jours. Voilà où on en est avec la T2A. »
Pr Agnès Hartemann, cheffe du service diabétologie de la Pitié lors d'une conférence de presse des médecins démissionnaires, membres du Collectif inter-hôpitaux le 15 janvier dernier.
Pr Régis Aubry : « Même si le débat est retardé voire temporairement arrêté, les questions émergentes autour de la fin de vie persistent »
À Saint-Malo, prendre le large avec la SEP
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Dr Myriam Pierson-Berthier, pédopsychiatre : « Les violences sexuelles sur de très jeunes enfants, c’est la clinique de l’impensable »