Cet été, le Dr Estelle Conq est partie une quinzaine de jours en mission humanitaire avec l’association Humani Cher au Bénin. Auparavant, elle était partie sur des missions semblables avec d’autres structures au Maroc et en Inde. « Je suis remplaçante à Brest », explique cette généraliste thésée depuis 2014, « et j’aime ce mode de fonctionnement qui me permet de partir sur des périodes où je pourrais être en vacances. »
Pour Estelle Conq, les choses sont assez claires. « Je ne veux pas sauver le monde, je veux juste essayer d’apporter quelque chose, avance-t-elle. Quand on y a pris goût, c’est dur de ne pas continuer à le faire. » Se voit-elle partir sur des durées plus longues, avec des ONG plus professionnalisées ? « Pourquoi pas, mais pas dans l’immédiat », répond-elle. « Pour l’instant je ne me sens pas prête, et je suis parfaitement satisfaite en étant purement bénévole. »
Article précédent
Julie Faucon (MSF France) : « Nous demandons une disponibilité de six mois »
Article suivant
Se former à la médecine humanitaire, une nécessité ?
« Tant que je peux, je continue ! »
« Le faire tout en restant en France »
« J’ai fait médecine pour me lancer dans l’humanitaire »
Julie Faucon (MSF France) : « Nous demandons une disponibilité de six mois »
« Je ne veux pas sauver le monde, juste apporter quelque chose »
Se former à la médecine humanitaire, une nécessité ?
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature