Les anti–PD-L1 ayant montré leur efficacité dans les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) avancés ou métastatiques, l’essai IMpower010 avait pour objectif d’évaluer l’atézolizumab à un stade plus précoce de la maladie. Les patients atteints de CBNPC de stade IB à IIIA étaient traités après chirurgie par une chimiothérapie à base de cisplatine avant de recevoir, ou non, de l’atézolizumab. Après un suivi médian de 32,2 mois, l’analyse intermédiaire montre que la survie sans progression est significativement augmentée sous atézolizumab pour les tumeurs de stade II-IIIA exprimant le PD-L1 (HR = 0,66, p = 0,0039), ainsi que dans les stades II-IIIA quel que soit le taux de PD-L1, mais de façon non significative sur l’ensemble de la population. Les données étant encore trop précoces, il va falloir attendre pour savoir si le bénéfice se traduira sur la survie globale…
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