Au fur et à mesure des stages, je me rendais compte que j’aimais un peu toutes les spécialités dans lesquelles je passais. Je me suis donc dit qu’il fallait que j’en choisisse une dans laquelle je pourrais toucher un peu à tout. Je ne me voyais pas me cantonner à un seul sujet.
J’ai fait mon stage chez le praticien assez tard pendant l’externat. C’était pendant la pandémie, il y avait beaucoup de grippes et de Covid et je me suis posé des questions : « s’il n’y a que ça, ce n’est pas le plus intéressant… » Mais ça a duré deux semaines et, ensuite, j’ai pu constater qu’il y avait beaucoup de motifs variés.
Par rapport à d’autres spécialités, la médecine générale m’offrait aussi la possibilité d’être libre. Je peux exercer en libéral, je ne suis pas obligée de rester à l’hôpital toute ma vie. Je n’ai pas de projet bien défini pour l’instant mais je m’imagine bien avoir un exercice mixte hôpital/cabinet. Je laisse venir. J’aurai peut-être des opportunités au cours de l’internat.
Éloïse Ralite, 23 ans, interne à Rennes
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