Les femmes enceintes fumeuses sont plus souvent plus jeunes, primipares, avec un niveau socio-économique moindre et des antécédents de dépression. Elles se déclarent plus volontiers stressées. Parmi celles qui disent avoir essayé le sevrage sans y parvenir, elles ne sont que 6 % à indiquer que l’information médicale a compté dans leur motivation, contre 28 % chez celles qui ont réussi.
En France en 2016, 30 % des femmes enceintes fumaient en début de grossesse, mais seulement 16,6 % au troisième trimestre. Plus de trois quarts de celles qui avaient arrêté de fumer l’avait fait au cours du premier trimestre.
Les Hauts-de-France, le Grand Est, l’Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur étant les régions où la proportion de fumeuses enceintes était la plus élevée.
D’après la présentation du Dr Gilles Grangé, hôpital Cochin, Paris
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